Top comedy

Vous trouverez ci-dessous, non pas la liste de toutes les comédies existantes (il y en a beaucoup trop et la plupart ne sont malheureusement pas terribles), mais une sélection des séries comiques incontournables et/ou très efficaces. Alors certes, cela commence par « Friends », « Seinfeld », « Arrested Development », « Curb your enthusiasm », et non je ne me fous pas de votre gueule ! Évidemment, vous connaissez ces séries et c’est presque risible de se les faire « conseiller ». Voyez ceci plutôt comme un hommage. Ces quatre séries (et celles qui suivent) gouvernent (pour moi) le monde et m’ont sauvée la vie plus d’une fois quand l’ennui, l’angoisse ou le désespoir trainaient un peu trop près de mon canapé… Et puis, entre vous et moi : « On est jamais à l’abri de se refaire un marathon de toutes les saisons de Friends ». Perso, ça m’arrive au moins une fois tous les 2 ans. 

Friends
pitch : Six amis éprouvant les joies de la colocation tournante dans les années 90, à New York. 
on regarde parce que : friends before

 

Seinfeld
pitch : “We decided to create a show about NOTHING”. L’humoriste Seinfeld s’entoure de ses amis et dépeint, à travers des histoires souvent loufoques ou tirées par les cheveux, le quotidien new-yorkais de quatre amis/voisins/emmerdeurs.
on regarde parce que : George Costanza

 

Arrested Development
pitch : Michael a la quarantaine, un fils ado ; il est veuf et veut se donner la chance d’un nouveau départ quand il est rattrapé par les bourdes de sa famille, qui compte sur lui pour sauver l’entreprise familiale. 
on regarde parce que :  c’est la série la plus drôle du monde. Parce que Michael Cera, Will Arnett, David Cross, Tony Hale, Jeffrey Tambor et surtout Jessica Walter ont réussi à faire de tous leurs personnages des références en matière de comédie. Et parce que la narration de Ron Howard donne au tout un charme absolument unique.


Curb your Enthusiasm

pitch : Qui aurait cru que le quotidien de Larry David, comédien/auteur superstar de Los Angeles puisse être aussi compliqué… Dans ses bottes, le créateur de Seinfeld, nous fait partager ses hontes, ses chocs, des incompréhensions face à la société qui l’entoure et qu’il méprise très clairement. 
on regarde parce que : la façon de marcher de Larry David est inimitable.


30 Rock
pitch : Dans les coulisses fictifs d’une émission de télé populaire diffusée sur NBC où auteurs, comédiens et patron de la chaine essayent de co-travailler tant bien que mal.
on regarde parce que :  Jack Donaghy deviendra votre mentor aussi.

 

Desperate Housewives 
pitch : Une femme au foyer d’un quartier résidentiel tranquille se suicide et laisse derrière elle un grand mystère … que ces quatre amies et voisines vont se faire un malin plaisir de percer à jour…
on regarde parce que :  L’efficacité de cette série est à toute épreuve. Les intrigues se renouvèlent à chaque épisode et nous obligent ainsi à regarder le suivant dans la foulée.

That ‘70s Show
genre : comédie
pitch : Une bande de potes qui trainent dans le basement de l’un d’entre eux. Les mères veulent être un peu plus indépendantes. Les pères sont autoritaires et vieux-jeu. Et les enfants fument de la weed.
on regarde parce que : c’est une très très bonne série. Les personnages sont superbement bien écrits et évoluent progressivement sans devenir des archétypes caractériels. C’est drôle, c’est “bonne ambiance”, c’est frais. A redécouvrir, pour sûr. 

Rick & Morty (animation)
pitch : Rick c’est le grand-père, qui rote un mot sur deux, alcoolique drogué dernier degré, c’est aussi un génie de la science qui voyage dans le temps, dans l’espace, dans des univers parallèles et qui n’oublie jamais d’emmener avec lui, son petit-fils Morty qui frôle la mort à chaque épisode.
on regarde parce que : C’est drôle. C’est du génie pure d’anticipation. Il y a une histoire en fil rouge saison après saison. C’est choquant tellement c’est bien.

Borded to Death 
pitch : Jonathan Ames vit à Brooklyn, il a la trentaine, il est passablement alcoolique, un chouille loser, “wrtier”, et donc tout naturellement sa copine vient de le larguer. Dur de s’en remettre, il décide de devenir détective privé afin de stimuler son imagination et d’accuser le choc de la rupture amoureuse.
on regarde parce que : chaque épisode est comme un shokobon : une si petite chose pour un tel plaisir… Parce que Ted Danson, il faut bien le dire aussi. Et parce que (Attention coup de gueule : SEULEMENT 24 EPISODES DE 23 MINUTES !!!???? C’est presqu’un film quoi…), ça se consomme comme une oeuvre à part entière. 

Platane
pitch : pouah, c’est compliqué… Eric & Ramzy y jouent leurs propres rôles, sauf que dans cette version de la vie c’est Ramzy la superstar et Eric le gros loser.
on regarde parce que : C‘est intelligent. C’est drôle, mais c’est surtout très intelligent.

WorkinGirls
pitch : Pas facile de travailler dans un open-space avec une coinços, une nympho, une mère de famille chouineuse, une hystérique-autoritaire dernier degré, deux standardistes machiavéliques … Non, pas facile.
on regarde parce que : Les personnages vont toujours trop loin et laisse sur mon visage ou sourire débile-indélébile
Note que l’épisode de Noël “La Grande Evasion” est un chef d’oeuvre.

Episodes
pitch : Deux scénaristes britanniques se retrouvent à Los Angeles où leur série anglaise doit être adaptée avec Matt LeBlanc en guest star (qui joue donc son propre rôle)… et si les versions américaines sont parfois différentes des originales, croyez-moi, maintenant, on sait pourquoi.
on regarde parce que :  Matt LeBlanc se remet enfin de se série Joey et pfffff on est trop content. 

The Detour
pitch : Ils pensaient rejoindre la Floride, en famille, pour les vacances, sans peine, ni tracas, mais il y a des gens qui, il faut le croire, ont vraiment la poisse.
on regarde parce que :  Entre Modern Family et Very Good Trip, cette famille nous rappelle tous les voyages que l’on a pu passé à l’arrière d’une voiture alors que nos parents s’engueulaient à propos de la route. Sauf que là, c’est drôle, inattendu et plutôt couillu. 

Sex and the City
pitch : Elles sont quatre copines. Elles vivent à Manhattan. Elles ont plein de fric. Et elles cherchent l’amour.
on regarde parce que :  Ça fait rêver… et que pour un conte contemporain, au moins il y a un peu de cul en plus des belles chaussures et des belles robes. 

Archer (animation)
pitch : La vie d’une petite agence privée d’agents secrets tous plus tordus les uns que les autres.
on regarde parce que :  Le personnage d’Archer est vecteur de surprise, sur surprise, sur surprise etc. Il arrive à être aussi minable que grandiose. Et même quand il lui arrive d’être » the wooooooooooorst », il arrive toujours à mettre une carotte à quelqu’un.

The Simpsons (animation) 
pitch : Beh je vais pas pitcher les Simpson quand-même !
on regarde parce que :  On fait tous secrètement faire partie de cette famille. 

Futurama (animation) 
pitch : Fry est livreur de pizza à New York quand, par malchance, il se fait cryogéniser et se réveille 1000 ans plus tard, à New New York. Il devient alors livreur interstellaire dans une compagnie privée dirigée par un professeur foldingue et se fait de nouveau amis, dont Bender, un robot qui réunit tous les défauts du monde. Les aventures peuvent alors commencer.
on regarde parce que :  Chaque histoire est un film et un bon film.

It’s always sunny in Philadelphia 
pitch : un frère, sa soeur et un ami reprennent un bar miteux pour en faire un bar encore plus miteux. Ce n’est qu’à l’arrivée du père qu’ils pensaient avoir perdu que l’on se rend compte que le bar peut être encore plus miteux.
on regarde parce que : Danny DeVito a accepté le rôle du père parce que sa fille était fan des premiers épisodes. Peut-être le rôle de sa vie.

South Park (animation)
pitch : Euh….. alors ça serait comme les Télétobbies, mais en dessin-animé, et en plus drôle, en plus provocant, en plus politique, en plus controversé, en plus grossier. En gros. 
on regarde parce que : Cartman.

How I Met your Mother
pitch : Ted raconte à ses deux enfants comment il a rencontré leur mère. Sauf que ça lui prend 9 saisons.  
on regarde parce que :  Ça rappelle Friends. Faut être honnête. 

The Guest Book
Pitch :  Une maison-cabane d’hôtes à louer dans une bourgade perdue proche de la forêt et des locataires qui s’enchainent au fur et à mesure des épisodes en racontant leurs aventures dans le Guest Book du chalet.
On regarde parce que :
1. La construction du scénario est intéressante : une histoire différente à chaque épisode, mais sur le même lieu, permettant à quelques personnages centraux de rester au coeur des péripéties.
2. Un casting « guest » à chaque fournée. On attend alors chaque épisode en se demandant qui va jouer dedans.
3. Parce que les histoires sont divertissantes, assez absurdes et assez courtes pour que ce ne soit pas rasoir.

Eastbound & Down
pitch : Un gros lourdeau super prétentieux et absolument déconnecté de la réalité, ex joueur star de baseball, dans sa ville natale où il est obligé de devenir prof de sport pour survivre (comme il peut).
on regarde parce que :  quand on devient fan de Kenny Powers, c’est pour la vie. 

Californication
pitch : Un auteur type “écrivain maudit” hyper cliché tente de se racheter une conduite pour éviter de foutre définitivement sa vie en l’air. 
on regarde parce que : Ça baise.

Better Things
Pitch : Le pendant féminin de la vie de Louis CK. Ok, plus précisément : voici venue la vie d’une mère célibataire qui élève trois enfants à Los Angeles tout en gérant sa vie d’actrice pas franchement débordée et en abordant tous les problèmes liés à la quarantaine (et ils sont plus nombreux qu’on le croit).
On regarde parce que : on adorait Pamela Adlon dans Louis CK et surtout dans Californication. Parce qu’il y a des guests dans à peu près chaque épisode et qu’ils y font limite de la figuration. Parce que le personnage de Sam Fox est décomplexée, nature et submergé de contrariétés comme vous et moi. On milite juste pour qu’elle arrête de porter ses jeans comme si elle était la gérante d’un bar de routiers sur une route perdue en Arizona. 

Les Invincibles (2010)
pitch : Quatre copains qui considèrent qu’ils n’ont pas assez fait les fou-fous dans leurs vies respectives concluent un pacte : ils vont devoir rompre simultanément avec leurs copines et à partir de là, commencer à s’amuser un peu…
on regarde parce que :  On ne se lasse pas de Jonathan Cohen et de Ben. 

Hard
pitch : Quand son mari décède, Sophie se voit obligée de prendre les rênes de son entreprise qu’elle pensait informatique et qu’elle découvre être en réalité une production de film X.
on regarde parce que : C’est bien joué, c’est bien écrit, c’est drôle, c’est neuf, c’est Français et on arrive même à l’oublier.

The Office
pitch : VDM
on regarde parce que :  VDM

Fleabag
pitch: Une jeune Anglaise, fraichement célibataire et laissée pour compte par sa meilleure amie qui s’est suicidée accidentellement, erre dans sa propre vie sans trop savoir ce qu’elle veut, ce qu’elle vaut et où tout ça va la mener. En attendant, elle baise, elle vole, elle parle : elle essaye, quoi.
on regarde parce que : La mise en scène est sympa. La comédienne Phoebe Waller-Bridge, fait une digression à quasiment chaque action, regarde la caméra et s’adresse directement à l’audience en commentant chaque situation, conversation, qu’elle soit au supermarché, ou en train de se faire sodomiser. De fait, c’est assez frais, sans filtre, très très très proche de la réalité. 

The Mindy Project
pitch
 : Une New-yorkaise, médecin obstétricienne, qui porte avec fierté ses origines indiennes, n’a des cesse de rechercher l’amour et ne comprend pas pourquoi une jeune femme aussi belle, prometteuse et exceptionnelle qu’elle est toujours célibataire.
on regarde parce que : Même si Mindy devient de plus en plus insupportable au fils des saisons, elle dégage, malgré elle, une bien-être irradiant.

New Girl
pitch
 : Ils sont trois copains à partager une colocation quand un quatrième habitant débarque. Sauf qu’il s’agit d’une fille, aussi lunaire que solaire, et qu’en voulant changer de vie, elle va changer la leur.
on regarde parce que :  Schmidt est vraiment trop con et Winston devient un des meilleurs personnages (même s’il faut attendre la saison 5).

Modern Family
pitch : La vie de famille. Avec des oncles homosexuels. Un grand-père qui se remarie avec une bombe. Un père de famille qui a peur des clowns. Une enfant sur-douée. Un enfant sous-doué. Et une petite Vietnamienne adoptée. Moderne.
on regarde parce que :  Bah, on regarde plus en fait… Les premières saisons sont drôles, mais les personnages deviennent peu à peu des clichés d’eux-mêmes. Surjoués. Surmalécrit. 

Wrecked 
pitch : Un avion s’écrase sur une île déserte et laisse les quelques survivants livrés à eux-mêmes, prêts à faire connaissance et à se pourrir la vie. 
on regarde parce que : Savoureux mélange entre Lost, KohLanta et Last Man on Earth.  Les personnages sont tous too much dans leurs attributs mais la farce n’en est (pour l’instant) pas moins agréable.   

Mozart in the Jungle
pitch : Une jeune hautboïste intègre l’Orchestre Philharmonique de New York et essaye de s’y faire une place soutenue par un chef d’orchestre exubérant, voire complètement fou.
on regarde parce que :  pour le mentra “Sex, Drugs & Classical Music”.

The Get Down
Pitch : 1977, South Bronx, New York, USA. Une bande d’adolescents vit sa vie dans un quartier qui crame. Certains se battent, d’autres trafiquent, et puis il y a ceux qui rêvent et ceux qui tentent de faire de leurs rêves, une réalité.
On regarde parce que : C’est comme Fame, mais version Get Down. Quand on entend les noms de Afrika Bambaataa, ou Grandmaster Flash pour la première fois, comme étant de potentiels personnages à venir dans le show, on frissonne de plaisir et alors impossible d’échapper à la fièvre South. On regarde parce que c’est l’émergence d’une culture qu’on a affectionné toute son enfance, adolescence et dont l’écho est encore plus que présent dans nos vies aujourd’hui. On regarde, parce que, même si c’est fictionné, c’est un hommage à la danse, la musique, l’attitude, le courage, l’expression et l’avant-gardisme d’une époque qui malgré ses frasques et litiges est aujourd’hui (et enfin) honorée.

Mixology
pitch : Une soirée. Un bar. Cinq femmes. Cinq hommes. 13 épisodes. Une histoire.
on regarde parce que :  Le concept est vraiment bien pensé. Que les histoires, interactions, rapports qu’entretiennent tous les personnages, les uns avec les autres sont bien ficelés et pour faire pression afin que cette série sympathique à plein de niveaux revienne enfin pour une saison 2 (même s’il y a peu d’espoir, avouons-le…).

Bob’s Burger (animation)
pitch : La famille de Bob, composée de lui, sa femme et ses trois enfants se sert les coudes pour faire tourner le Bob’s Burger, boui-boui de quartier qui est menacé de fermer toutes les semaines.
on regarde parce que :  


Chewing Gum

Pitch : Chronique d’une jeune fille normale qui oscille entre son amour pour Beyoncé et son amour pour Dieu, tout en n’étant obnubilée que par l’idée de se faire dépuceler rapidement. Le tout dans un quartier pourri d’Angleterre où voisins et voisines trouveraient tous leurs place dans Geordie Shore. 
On regarde parce que : L’actrice principale, Michaela Coel est juste trop drôle. Elle arrive à être physiquement aussi belle que repoussante, aussi touchante que hilarante et pousse les limites de la performance assez loin, sans pudeur et sans tabou. Les personnages respectifs de sa soeur et de sa mère sont absolument magnifiquement écrits et rappelleront probablement des souvenirs à toutes celles qui ont grandi dans des familles très religieuses. 

Atlanta
Pitch : 
Un mec complètement fauché décide de devenir le manager de son cousin qui après avoir été accusé de meurtre tente de percer dans le rap.
On regarde parce que : Tous les épisodes sont ponctués de blagues et de scènes intelligentes et bien ficelées. Et parce qu’on ne connait Donald Glover que dans Community et qu’on se rend compte seulement maintenant que c’est un bon acteur. 

Black Books
genre : 
comédie, littérature anglaise, beuveries
pitch : Bernard se laisse aller dans sa librairie aussi poussiéreuse que…. poussiéreuse et déteste le monde à mesure qu’il avale gorgée de piquette sur… gorgée de piquette.
on regarde parce que :  ils sont drôles ces rosbifs.

 

Vice Principals
Pitch : Deux espèces de losers antipathiques et sans empathie, qui ont tout de même pour responsabilité d’être directeurs adjoints dans un lycée de province, unissent leurs force diaboliquement débiles pour déloger le nouveau principal. 
On regarde parce que : Danny McBride creuse encore davantage le genre de personnage emblématique qu’il a créé dans Eastbound & Down pour en faire un être socialement attardé, toujours plus méprisable et dont les seuls moteurs sont l’égoïsme et l’autosuffisance.  

Dream On
pitch : Le pitch le plus simple du monde : un homme divorcé cherche l’amour.
on regarde parce que la singularité du montage mêlant série et extraits de vieux films ou vieilles émissions TV rend la série poétique, drôle et unique.  

Parks & Recreation 
pitch : Dans la marie de la ville (fictive) de Pawnee, Indiana, on trouve un service “Parcs et Loisirs” et Leslie Knope, sa directrice adjointe compte bien en faire une rampe de lancement pour sa carrière politique.
on regarde parce que : On regardAIT parce que, à l’instar de Modern Family, l’écriture des personnages en a fait des clichés d’eux-mêmes. Les premières saisons n’en restent pas moins hilarantes, grâce, entre autres, à Nick Offerman et son personnage culte de Ron Swanson, grâce à Chris Pratt en grand benêt, Aubrey Plaza en freaky-psychotico-girl et surtout grâce à Aziz Ansari que beaucoup ont découvert à travers ce show.  

Dix pour cent
pitch : Une agence d’agents (ça fait bizarre dit comme ça) tient bon pour garder l’entreprise à flots.
on regarde parce que : 
Quand une série française est bien écrite, bien interprétée, drôle et qu’en plus JoeyStarr s’y fait embrouiller comme pas possible par Camille Cottin, alors on ne s’en prive pas. 

Spin City 
pitch : on suit les aventures farfelues de tous les employés du bureau du Maire de New-York qui se trouve être un crétin fini.
on regarde parce que : ils sont tous fous et Michael J.Fox était encore plutôt en bonne santé. 

American Dad 
pitch : La famille Smith serait des plus classiques si Stan, le père, n’était pas agent de la CIA, si il n’abritait pas un extraterrestre dans son grenier, et si son poisson rouge n’était pas un ex agent nazi transformé pour éviter le pire…
on regarde parce que : Roger.

Master of None
pitch : Bienvenue dans la vie de Dev. Petite trentaine, il erre dans New York entre deux castings.
on regarde parce que :  A la limite d’une télé-réalité ou d’un “Vis ma vie d’acteur un peu raté à NY » Aziz Ansara propose là une série qui aurait peut-être pu être classée dans la catégorie “drama” si elle n’était pas un super remède aux crises de mélancolie aigües.

Last Man on Earth
pitch : Un homme se réveille. Seul au monde. Plus personne dans sa ville, ni aux alentours. Ils ont tous disparu et il se retrouve comme un con.
on regarde parce que :  Will Forte est fort.

Togetherness
Pitch : Un couple de jeunes parents qui ne baisent plus, une soeur insouciante et irresponsable, un meilleur ami complexé et pas vraiment épanoui… on met ça dans une tambouille, à Los Angeles “et voilà!”. Si toi aussi tu as 35 ans, choisis le personnage à qui t’identifier. 
On regarde parce que : On se laisse prendre dans leurs petits déboires, leurs petits tracas, leurs petits secrets, leurs petits fantasmes, leurs petits émois. Toutes ces petites choses qui n’en font pas une grande série pour autant, mais qui nous rapprochent d’eux, de leurs petits déboires, de leurs petits tracas, de leurs petits…oups, je me répète là.

 

Love You More
Pitch : Karen est une femme qui s’en sort, enfin qui essaye. La journée, elle travaille dans une maison pour jeunes trisomiques, le soir, elle fréquente les bars à la recherche de quelqu’un qui l’aimera ou la baisera selon son humeur.
On regarde parce que : Karen n’est en rien « typique ». Sa vision de la vie et de la féminité est intéressante car elle ne se laisse jamais dépasser, ni par les gens, ni par les normes, et encore moins par elle-même. Elle est responsable et tout à la fois dévergondée. Excentrique mais pour autant psychologue et compréhensive. Un personnage forgé dans une bassine de non-clichés qui génère alors des situations cocasses, loufoques et à la fois criantes de vérités et de « possible ». Amazon n’a mis en ligne qu’un épisode pour l’instant, mais ce début d’histoire ne laisse pas indifférent : on en veut more.

 

Unbreakable Kimmy Schmidt
pitch : Une jeune femme sort de dessous la terre où elle était retenue prisonnière dans un bunker par un gourou fou qui lui avait fait croire à elle et à ses “soeurs de fortune”, qu’une épidémie mortelle avait envahi la planète et qu’elles ne pouvaient ainsi pas sortir. 
on regarde parce que :  Pinot Noir. (Mais la vérité, c’est qu’on tient une saison, pas plus) 

Trailer Park Boys
pitch : série faux documentaire sur un groupe d’amis/voisins qui habitent tous dans un Trailer Park, c’est à dire une zone résidentielle pour caravanes et maisons mobiles.
Ils sont cons, dangereux et sérieusement accrocs à toutes sortes de merde.
on regarde parce que :  C’est la série qui a clairement inspirée EastBound & Down.